Certains chemins ruraux sont les supports d’itinéraires de randonnée balisés, je suis conscient(e) que je peux à tout moment croiser des randonneurs et je suis vigilant(e).
Pour éviter tout accident ou frayeur, je ralentis lorsque je croise un autre usager (randonneur par exemple), je m’arrête et je coupe le moteur au passage de cavaliers ou de troupeaux. Dans une descente, je laisse la priorité aux usagers qui montent.
Je favorise les échanges avec les personnes que je rencontre.
Afin de respecter la quiétude des riverains et de la faune environnante (réserves de chasse notamment), j’évite les passages répétés sur une zone et je reste discret(e) (pas d’accélérations superflues).
J’adapte ma vitesse en fonction des lieux et des conditions (visibilité, zones habitées, troupeaux, …).
Je redouble de prudence en période de chasse (je respecte les actions de chasse) ou en zone de travaux forestiers.
Je veille à ne pas stationner mon véhicule sur des aires de dépôt de bois ou sur des accès à des parcelles forestières ou agricoles.
J’emporte mes détritus pour ne rien laisser après mon passage.
Si mon passage ou celui de mon groupe a occasionné des dégâts sur un chemin, je prends contact avec le propriétaire pour envisager de le remettre en état.
Je fais attention aux risques d’incendie en période sèche. En période estivale je me renseigne sur les restrictions de circulation.
Si j’observe un problème de sécurité sur un chemin, je n’hésite pas à en informer la commune.
Les chemins se dégradent très rapidement lorsqu’ils sont gorgés d’eau, j’évite donc de circuler dans ces conditions. Je n’hésite pas à interrompre, modifier ou reporter une sortie prévue, en fonction des conditions météo.
La randonnée motorisée ne doit, en aucun cas, revêtir un caractère compétitif.